Un ours blanc émerge d’un paysage fragmenté, tissé de toiles, d’affiches arrachées et de matières brutes. Un savant assemblage de matériaux structurés, pour évoquer une nature malmenée. Pourtant, la noblesse de la marche et la feuille d’or rappellent la valeur inestimable du vivant. Symbole de force et de fragilité, cet ours incarne l’urgence climatique. Une marche silencieuse vers un avenir incertain. Cette œuvre de Lo 66 nous interroge : que restera-t-il de cette beauté si nous ne changeons pas de cap ?
Au crépuscule, Lo66, acrylique & pastels à l'huile Plongée dans les mystères d’un crépuscule marin, Lo66 a capturé l’instant fragile entre lumière et nuit. Contraste vibrant et poétique entre les couleurs flamboyantes du ciel et la froideur minérale et aquatique, elle vous invite à une contemplation silencieuse de ces beautés naturelles.
Rondeur carrée ? Quadrature du cercle ? symbolisme féminin / masculin ? Ligne ou courbe ? Volumes, formes ou aplats anguleux ? Divergence ou complémentarité ? Fragmentation picturale ou multiplicité des points de vue ? Singularité ou pluralité des langages et des signes ? Inspirée par le mouvement cubiste, Lo 66 vous invite à la réflexion au travers de ce collage qui mixe allègrement les techniques et les genres. Inspiration cubiste, Lo66, Collage et techniques mixtes
En avant première de notre exposition à la médiathèque de l'Isle d'Abeau, dans le cadre de la thématique "sur la route", Gilles propose de nous embarquer au cœur de l’océan, là où le vent, la mer et la liberté dictent leur loi. À travers le tumulte des vagues et la danse des voiliers, il capte l’instant où tout devient possible. Invitation au voyage, exploit sportif ou rêve d’évasion, vous pourrez découvrir cette œuvre à la médiathèque, à partir du 2 juin, ainsi que bien d'autres. Profitez en pour vous laissez-vous surprendre par les talents multiples des artistes adhérents de notre association, qui explorent chacun à leur manière les routes du monde… et celles de l’imaginaire. Sur la route du Rhum, Gilles, aquarelle
beautés passagères, Louise, Pastel Sur la plage juste avant l'aube, lorsque le ciel hésite encore entre nuit et jour, Sous la pâle lumière lunaire, le rouge profond des coquelicots comme des cœurs battants, A la nuit tombée, le plumage immaculé d'un cygne majestueux captant la lumière comme une étoffe sacrée, Et si la beauté résidait dans l'instant présent ? Louise assurément nous invite à cette contemplation paisible et passagère, gage de sérénité.
Saisissant de réalisme, il s'avance vers nous et nous interpelle, allons nous agir!...
RépondreSupprimerBonne questrion pour une très belle oeuvre...
RépondreSupprimerJ'adore et j'ai cette fois mieux aimé le vrai que la photo. Pour les questions.... tristesse....
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