Tentation du cubisme
Les adhérents n'ayant pas pu s'associer à la visite du 2 février, trouverons quelques photos détaillées ci après
ROGER DE LA FRESNAYE (1885-1925) la tentation du cubisme : 2 février 2019 - Exposition temporaire - Musée municipal Paul Dini à Villefranche sur Saône
Cette exposition a permis de découvrir le musée DINI, et sa collection d’artistes contemporains comme Jacques Truphemus, (ou Jeremy Liron, Marc Desgrandchamps, Georges Adilon, Armand Avril…) ainsi que les œuvres de ROGER DE LA FRESNAYE.
ROGER DE LA FRESNAYE était considéré comme l’un des acteurs du cubisme dans les années 1910. L’exposition présente ses œuvres de jeunesse, puis son évolution cubiste dès 1911, influencée par Gauguin ou Cézanne. Se rapprochant du groupe formé notamment autour d’Albert GLEIZES, jean METZINGER, ou André LHOTE, il retournera à une figuration plus classique dans les années 1920. Gouache, huile, aquarelle, fusain, xylographie, encre de chine, il a utilisé divers médiums. Il n’a pas seulement « peint », il aussi été illustrateur pour diverses revues ou ouvrages et donné ainsi sa vision plastique des émotions qu’il ressentait au travers de la lecture (exemple de la simplification volumétrique pour Tête d’or).
ROGER DE LA FRESNAYE était considéré comme l’un des acteurs du cubisme dans les années 1910. L’exposition présente ses œuvres de jeunesse, puis son évolution cubiste dès 1911, influencée par Gauguin ou Cézanne. Se rapprochant du groupe formé notamment autour d’Albert GLEIZES, jean METZINGER, ou André LHOTE, il retournera à une figuration plus classique dans les années 1920. Gouache, huile, aquarelle, fusain, xylographie, encre de chine, il a utilisé divers médiums. Il n’a pas seulement « peint », il aussi été illustrateur pour diverses revues ou ouvrages et donné ainsi sa vision plastique des émotions qu’il ressentait au travers de la lecture (exemple de la simplification volumétrique pour Tête d’or).
La collection permanente du musée donne un panorama de la peinture Rhônalpine et auvergnate de 1850 à nos jours (Pierre Combet –Descombes , le fer et le feu, Edouard Crémieu soleil et poussière) et réserve un espace particulier à des artistes (Robert Ascain, Armand Avril), utilisant des matériaux aussi divers qu’étonnants (pinces à linges, clous, bois, osier, débris végétaux, métal,...).
Une collection encore plus contemporaine est présentée dans un espace dédié, où Le fil conducteur repose sur la fluidité de la matière, au travers de la technique de la coulure (superbement mis en œuvre par Truphémus dans sa « sieste sous la tonnelle », et utilisée par nombre d’artistes de la région Lyonnaise).
Lo 66
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